La dernière ascension de Garry s'est déroulée samedi 18 juin à la médiathèque de Parisot.

Les échos de Garry et de Modou ont résonné dans cet espace très chaleureux avant que Magali n'invite la jeune public à jouer avec les couleurs, les formes et les mots.

Garry ry ry version pop-up,

c'est par ici ! Si ! Si !

C'est l'histoire de deux rencontres.

Celle d'un lion et lapin.

Celle d'une illustratrice professionnelle et d'une conteuse amateur.

La première est au coeur du livre de Magali Bardos :

"Garry ry ry".

La seconde a donné lieu à deux moments chaleureux à l'Espace Milan (Toulouse) et à la librairie Guillot (Albi).

Le jeune public a pu : écouter l'histoire, découvrir les planches originales dessinées par Magali, voir avec magie, comment elle dessine ses personnages et à son tour, prendre les crayons.

Aujourd'hui encore ce moment résonne : 

"C'était bien, hein ! hein !"

En savoir plus sur Magali Bardos 

La parole vagabonde est le fruit d'une amitié...

Une association entre deux amies séparées par le temps et la distance...

Entre Ile de France et Midi-Pyrénées...

Les mots, la poésie, les contes..

Au cœur du lien qui les unit...

Demifr'Elle et Fany So...

Les deux pieds dans la réalité, la tête dans les nuages...

Côté cour, elles exercent leur activité professionnelle...

Côté jardin, elles cultivent leur imaginaire...

Et aujourd'hui La parole vagabonde...

A la rencontre d'autres rêveurs et promeneurs cultivant leur âme d'enfant...

La parole vagabonde...

Et vient à votre rencontre...  

Une façon de soutenir le projet Dits Vers Cité : nous avons invité les Conteuses de Cantepau !

Une belle rencontre, riche en émotions.

C'était en juin 2014.

C'est qui ? C'est quoi ?

(extrait de l'article publié dans La Dépêche le 17/02/2014)

«Dits Vers Cité» ce sont des récits de vie dits par les conteuses de Cantepau dans l’intimité d’une maison ou d’un appartement qui ouvre les bras à un auditoire de voisins, de connaissances ou d’amis. L’idée est née en 2009 de la rencontre des conteuses avec le conteur libanais Jihad Darwiche : "Il nous a proposé un travail sur nos propres mémoires. On a transposé cet exercice aux habitants de Cantepau en les questionnant sur leur quartier, comment ils s’adaptent à son changement, son repli", explique Eva Hahn la metteuse en scène. Les conteuses ont sollicité des femmes qui habitent ou fréquentent le quartier : adhérentes aux ateliers et associations du centre social, parents d’enfants de l’aide aux devoirs. "L’approche a été difficile car tout le monde croit sa vie banale, dénuée d’intérêt" témoigne Éva Hahn. La confiance installée, les pelotes de vie se sont déroulées : "Elles nous racontent des choses personnelles, famille, mariage, divorce, enfants, chemin professionnel. Celles qui viennent d’ailleurs racontent leur vie avant et ici." Les récits sont transposés pour qu’ils soient audibles, les noms changés. Éva a aussi mis en scène cacophonies et dialogues de sourds comme dans la vie. Pourquoi se produire à domicile ? "C’est l’intimité et cela prête à l’échange après" dit Eva. 

"Ce travail sur la mémoire continuera, il est pertinent et nécessaire, estime Éva Hahn. Il faut réhabiliter les mémoires féminines car les hommes font plus l’Histoire et les femmes sont plus aptes à préserver ce qui fait la vie. C’est un rééquilibrage."

En savoir plus sur Eva Hahn et la Compagnie du Coq à l'âne.

- Dis, est-ce que l'on va "faire Halloween" cette année ? 

- Faire Halloween ? Je ne sais pas, mais approcher la mort...

Approchez ! Approchez braves gens ! 

Ici la mort rôde, des portes claquent, des fantômes surgissent, le Diable n'est pas loin !

Et à la fin...

A la fin ? On rit ! On rit d'avoir eu peur, on rit d'être ensemble, heureux et plein de vie !

Dans la toile d'araignée 2014, on trouvait : un bourreau, un petit os, un château hanté, et un Diable bien attrapé.

En projet pour 2015, la toile devrait être tissée autour de "Celui qui s'en alla apprendre la peur"...

Avis aux amateurs !